Conversation amorcée à la station Esso Express presque déserte (où je pense que vous rechargiez une Tesla blanche) au hasard d’une attente devant bunker WC high tech, entre deux rafales, dans des circonstances triviales mais cocasses… hélas minutée de mon côté par le transport de chevaux (retour d’une course, C – P). J’aurais aimé parler davantage. Surgie et disparue comme une voleuse, je ne vous ai même pas retourné votre souhait d’un bon voyage (ayant pourtant traversé de sérieuses intempéries plus haut sur l’A10 !), ni demandé votre destination, encore moins tracé mon numéro par terre, sur cette terre un peu mélusine mais toujours discrète qui nous est commune (« Chez nous, il y avait une table, quatre chaises, plus l’éternité… » écrivait M.Chaillou, natif de Nantes descendu sur Poitiers et nostalgique de… Melle). Bref, je le regrette, question de politesse élémentaire autant que de sensibilité personnelle. Alors reste-t-il quelque divinité poitevine des causes perdues ?… // Je n’appartiens pas du tout au milieu équestre et n’apparais pas sur internet, ni à titre pro ni à titre privé // Pas canular. MERCI




